anastas saenz -- résumé
cynthia
light
Messages : 347
Date d'inscription : 21/04/2023
shadow
maman envolée, par la musique appelée, a suivi ses rêves de gloire - c'est ce qu'elle a laissé croire. trop jeune pour de telles responsabilités, trop talentueuse pour tout abandonner. elle aura au moins essayé. trois ans avant qu'elle ne disparaisse, sur les routes de l'europe qu'elle compte mettre à ses pieds lorsqu'en première partie de celui qu'elle fréquente elle a l'opportunité de chanter. part, revient, apporte cadeau en souvenir de son voyage, puis à nouveau s'enfuit. recommence, encore et encore, avant de n'être plus qu'une ombre, elle-même plus qu'un souvenir.
dans l'insouciance grandi pourtant, bercé par les bras de ses grand-parents. bohèmes de l'île, partagent leur amour et font de son enfance une idylle. n'a jamais vraiment ressenti le manque et la solitude, anas ; le myocarde plus comblé que si sa génitrice s'était efforcée de l'élever. a pourtant avec elle cette connexion, partage au fond de lui la même passion. musique est, depuis toujours, source de son âme et baume à son coeur, ensorceleuses mélodies dont jouit son ouïe ; le rythme dans la peau avec lequel il grandi.
mais aussi belle et paisible qu'est son existence, vole finalement en éclat. fumée noire scelle sur eux le désespoir et dans ses cendres emporte la vie. plus que sa maison, c'est ses grand-parents qu'elle lui a pris ; quand de chagrin, abuelita perd l'esprit, croit qu'en ouvrant les yeux elle croisera à nouveau ceux de son défunt mari.
n'est toujours qu'une ombre, cette mère qui n'en a jamais mérité le nom. donne chaque fois espoir avant de le reprendre, arrachant les coeurs, brisant les âmes. n'est jamais bien que de passage, finalement, même lors de l'enterrement. n'a toujours rien à lui offrir, si ce n'est une nouvelle maison ; pas la sienne, mais celle de l'homme dont elle a jusqu'alors gardé pour elle le nom. ainsi père découvre ce fils dont il ignorait l'existence et fils rencontre ce père dont il n'a jamais désiré la présence. nouveau monde ouvre ses portes ornées de dorures, dresse devant lui une toute autre parure. dans l'envers du décor propulsé, sans n'avoir rien demandé ; anas y perd quelque part l'essence même de son identité. double face, lumière se fait ombre que la façade efface. crise identitaire exacerbée par la puberté, peu nombreux sont ceux qui savent encore qui il est. véritablement. quand lui même ignore lesquels des cris et des chants du coeur reflètent son âme. guidé par les attentes d'un homme dont il se surprend à désirer la fierté. consumé par la rage d'avoir vu sa vie, en un battement de paupière, lui être soutirée. oscille entre perfection et abandon ; quand digne héritier vire au rouge la nuit tombée. de ses poings laisse sa colère parler, se déverser. et, quelque part, la lumière s'essouffle, la flamme s'éteint. emportée dans les cendres de son existence, épuisée par l'ultime trahison, par ce dernier abandon. musique n'est plus, comme elle, que le souvenir d'instants qu'il enferme à double tour et dont le cadenas a, depuis longtemps, été brisé. n'attend peut-être au fond, qu'à être, à nouveau, libérée.
arrogance servi en armure à ceux qui jugent, devinent avant de connaître ; car, lui, plus rien ne laisse transparaître. gamin des champs se mue en homme des villes, mais son existence n'a rien de sa feu idylle. en amitié peu sont ceux qui sont restés, peu sont celles qui ont été créées avec sincérité. souvent seul bien qu'entouré, montre sa force mais est, au fond, empli de fragilités. douceur de ses sourires dédiée à elle, son abuelita qui de jour en jour oublie et lui fait perdre la fois.
en vrac -- mère musicienne a préféré suivre sa passion, que de rester auprès de son petit garçon ; a été élevé par ses grand-parents dans l'auberge qu'ils tiennent depuis leur mariage ; n'a pas vu sa mère de ses sept à ses quatorze ans ; tient pourtant d'elle une passion pour la musique qu'il tente d'éteindre ; et tient de son abuelo l'amour des voitures - ont rénové ensemble celle sur laquelle il aura à peine le temps d'apprendre à conduire ; un incendie a ravagé l'auberge, emportant dans ses flammes son grand-père et laissant sa grand-mère dans un état de choc tant mental que physique ; le terrain a finalement été racheté par un investisseur qui cherchait à mettre la main dessus depuis plusieurs mois - une belle coïncidence ; a appris l'identité de son père au refus de sa mère de reprendre son fils à charge ; propulsé dans un monde qu'il ne faisait que regarder d'en bas depuis lors, son père étant dirigeant d'une grande entreprise pharmaceutique ; crise identitaire et glow up à l'adolescence ; n'a que très peu d'amitiés sincères mais les chérie - parfois à sa sombre manière ; gosse perdu, se laisse consumer par toute cette rage, cette haine accumulées ; rend visite à sa grand-mère, prise en charge en centre de soins, au moins une fois par semaine ; s'est mis à la boxe pour se décharger, a commencé à participer à des combats de rues à sa majorité et est un combattant pour les hamary depuis près de trois années ; participe également à des courses illégales pour le plaisir de parier l'argent de son père - et sentir le frisson l'animer ; tendresse cachée derrière une armure de dureté et, parfois, d'arrogance ; suit des études de xx pour coller aux attentes de son père ; père qui vient de se marier et dont la nouvelle compagne ainsi que sa fille vont sous peu, avec eux, emménager.
dans l'insouciance grandi pourtant, bercé par les bras de ses grand-parents. bohèmes de l'île, partagent leur amour et font de son enfance une idylle. n'a jamais vraiment ressenti le manque et la solitude, anas ; le myocarde plus comblé que si sa génitrice s'était efforcée de l'élever. a pourtant avec elle cette connexion, partage au fond de lui la même passion. musique est, depuis toujours, source de son âme et baume à son coeur, ensorceleuses mélodies dont jouit son ouïe ; le rythme dans la peau avec lequel il grandi.
mais aussi belle et paisible qu'est son existence, vole finalement en éclat. fumée noire scelle sur eux le désespoir et dans ses cendres emporte la vie. plus que sa maison, c'est ses grand-parents qu'elle lui a pris ; quand de chagrin, abuelita perd l'esprit, croit qu'en ouvrant les yeux elle croisera à nouveau ceux de son défunt mari.
n'est toujours qu'une ombre, cette mère qui n'en a jamais mérité le nom. donne chaque fois espoir avant de le reprendre, arrachant les coeurs, brisant les âmes. n'est jamais bien que de passage, finalement, même lors de l'enterrement. n'a toujours rien à lui offrir, si ce n'est une nouvelle maison ; pas la sienne, mais celle de l'homme dont elle a jusqu'alors gardé pour elle le nom. ainsi père découvre ce fils dont il ignorait l'existence et fils rencontre ce père dont il n'a jamais désiré la présence. nouveau monde ouvre ses portes ornées de dorures, dresse devant lui une toute autre parure. dans l'envers du décor propulsé, sans n'avoir rien demandé ; anas y perd quelque part l'essence même de son identité. double face, lumière se fait ombre que la façade efface. crise identitaire exacerbée par la puberté, peu nombreux sont ceux qui savent encore qui il est. véritablement. quand lui même ignore lesquels des cris et des chants du coeur reflètent son âme. guidé par les attentes d'un homme dont il se surprend à désirer la fierté. consumé par la rage d'avoir vu sa vie, en un battement de paupière, lui être soutirée. oscille entre perfection et abandon ; quand digne héritier vire au rouge la nuit tombée. de ses poings laisse sa colère parler, se déverser. et, quelque part, la lumière s'essouffle, la flamme s'éteint. emportée dans les cendres de son existence, épuisée par l'ultime trahison, par ce dernier abandon. musique n'est plus, comme elle, que le souvenir d'instants qu'il enferme à double tour et dont le cadenas a, depuis longtemps, été brisé. n'attend peut-être au fond, qu'à être, à nouveau, libérée.
arrogance servi en armure à ceux qui jugent, devinent avant de connaître ; car, lui, plus rien ne laisse transparaître. gamin des champs se mue en homme des villes, mais son existence n'a rien de sa feu idylle. en amitié peu sont ceux qui sont restés, peu sont celles qui ont été créées avec sincérité. souvent seul bien qu'entouré, montre sa force mais est, au fond, empli de fragilités. douceur de ses sourires dédiée à elle, son abuelita qui de jour en jour oublie et lui fait perdre la fois.
en vrac -- mère musicienne a préféré suivre sa passion, que de rester auprès de son petit garçon ; a été élevé par ses grand-parents dans l'auberge qu'ils tiennent depuis leur mariage ; n'a pas vu sa mère de ses sept à ses quatorze ans ; tient pourtant d'elle une passion pour la musique qu'il tente d'éteindre ; et tient de son abuelo l'amour des voitures - ont rénové ensemble celle sur laquelle il aura à peine le temps d'apprendre à conduire ; un incendie a ravagé l'auberge, emportant dans ses flammes son grand-père et laissant sa grand-mère dans un état de choc tant mental que physique ; le terrain a finalement été racheté par un investisseur qui cherchait à mettre la main dessus depuis plusieurs mois - une belle coïncidence ; a appris l'identité de son père au refus de sa mère de reprendre son fils à charge ; propulsé dans un monde qu'il ne faisait que regarder d'en bas depuis lors, son père étant dirigeant d'une grande entreprise pharmaceutique ; crise identitaire et glow up à l'adolescence ; n'a que très peu d'amitiés sincères mais les chérie - parfois à sa sombre manière ; gosse perdu, se laisse consumer par toute cette rage, cette haine accumulées ; rend visite à sa grand-mère, prise en charge en centre de soins, au moins une fois par semaine ; s'est mis à la boxe pour se décharger, a commencé à participer à des combats de rues à sa majorité et est un combattant pour les hamary depuis près de trois années ; participe également à des courses illégales pour le plaisir de parier l'argent de son père - et sentir le frisson l'animer ; tendresse cachée derrière une armure de dureté et, parfois, d'arrogance ; suit des études de xx pour coller aux attentes de son père ; père qui vient de se marier et dont la nouvelle compagne ainsi que sa fille vont sous peu, avec eux, emménager.
cynthia
light
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ANASTAS SAENZ
ft. michael cimino
who lives, who dies, who tells your story
maman envolée, par la musique appelée, a suivi ses rêves de gloire - c'est ce qu'elle a laissé croire. trop jeune pour de telles responsabilités, trop talentueuse pour tout abandonner. elle aura au moins essayé. trois ans avant qu'elle ne disparaisse, sur les routes de l'europe qu'elle compte mettre à ses pieds lorsqu'en première partie de celui qu'elle fréquente elle a l'opportunité de chanter. part, revient, apporte cadeau en souvenir de son voyage, puis à nouveau s'enfuit. recommence, encore et encore, avant de n'être plus qu'une ombre, elle-même plus qu'un souvenir.
dans l'insouciance grandi pourtant, bercé par les bras de ses grand-parents. bohèmes de l'île, partagent leur amour et font de son enfance une idylle. n'a jamais vraiment ressenti le manque et la solitude, anas ; le myocarde plus comblé que si sa génitrice s'était efforcée de l'élever. a pourtant avec elle cette connexion, partage au fond de lui la même passion. musique est, depuis toujours, source de son âme et baume à son coeur, ensorceleuses mélodies dont jouit son ouïe ; le rythme dans la peau avec lequel il grandi.
mais aussi belle et paisible qu'est son existence, vole finalement en éclat. fumée noire scelle sur eux le désespoir et dans ses cendres emporte la vie. plus que sa maison, c'est ses grand-parents qu'elle lui a pris ; quand de chagrin, abuelita perd l'esprit, croit qu'en ouvrant les yeux elle croisera à nouveau ceux de son défunt mari.
n'est toujours qu'une ombre, cette mère qui n'en a jamais mérité le nom. donne chaque fois espoir avant de le reprendre, arrachant les coeurs, brisant les âmes. n'est jamais bien que de passage, finalement, même lors de l'enterrement. n'a toujours rien à lui offrir, si ce n'est une nouvelle maison ; pas la sienne, mais celle de l'homme dont elle a jusqu'alors gardé pour elle le nom. ainsi père découvre ce fils dont il ignorait l'existence et fils rencontre ce père dont il n'a jamais désiré la présence. nouveau monde ouvre ses portes ornées de dorures, dresse devant lui une toute autre parure. dans l'envers du décor propulsé, sans n'avoir rien demandé ; anas y perd quelque part l'essence même de son identité. double face, lumière se fait ombre que la façade efface. crise identitaire exacerbée par la puberté, peu nombreux sont ceux qui savent encore qui il est. véritablement. quand lui même ignore lesquels des cris et des chants du coeur reflètent son âme. guidé par les attentes d'un homme dont il se surprend à désirer la fierté. consumé par la rage d'avoir vu sa vie, en un battement de paupière, lui être soutirée. oscille entre perfection et abandon ; quand digne héritier vire au rouge la nuit tombée. de ses poings laisse sa colère parler, se déverser. et, quelque part, la lumière s'essouffle, la flamme s'éteint. emportée dans les cendres de son existence, épuisée par l'ultime trahison, par ce dernier abandon. musique n'est plus, comme elle, que le souvenir d'instants qu'il enferme à double tour et dont le cadenas a, depuis longtemps, été brisé. n'attend peut-être au fond, qu'à être, à nouveau, libérée.
arrogance servi en armure à ceux qui jugent, devinent avant de connaître ; car, lui, plus rien ne laisse transparaître. gamin des champs se mue en homme des villes, mais son existence n'a rien de sa feu idylle. en amitié peu sont ceux qui sont restés, peu sont celles qui ont été créées avec sincérité. souvent seul bien qu'entouré, montre sa force mais est, au fond, empli de fragilités. douceur de ses sourires dédiée à elle, son abuelita qui de jour en jour oublie et lui fait perdre la fois.
en vrac -- mère musicienne a préféré suivre sa passion, que de rester auprès de son petit garçon ; a été élevé par ses grand-parents dans l'auberge qu'ils tiennent depuis leur mariage ; n'a pas vu sa mère de ses sept à ses quatorze ans ; tient pourtant d'elle une passion pour la musique qu'il tente d'éteindre ; et tient de son abuelo l'amour des voitures - ont rénové ensemble celle sur laquelle il aura à peine le temps d'apprendre à conduire ; un incendie a ravagé l'auberge, emportant dans ses flammes son grand-père et laissant sa grand-mère dans un état de choc tant mental que physique ; le terrain a finalement été racheté par un investisseur qui cherchait à mettre la main dessus depuis plusieurs mois - une belle coïncidence ; a appris l'identité de son père au refus de sa mère de reprendre son fils à charge ; propulsé dans un monde qu'il ne faisait que regarder d'en bas depuis lors, son père étant dirigeant d'une grande entreprise pharmaceutique ; crise identitaire et glow up à l'adolescence ; n'a que très peu d'amitiés sincères mais les chérie - parfois à sa sombre manière ; gosse perdu, se laisse consumer par toute cette rage, cette haine accumulées ; rend visite à sa grand-mère, prise en charge en centre de soins, au moins une fois par semaine ; s'est mis à la boxe pour se décharger, a commencé à participer à des combats de rues à sa majorité et est un combattant pour les hamary depuis près de trois années ; participe également à des courses illégales pour le plaisir de parier l'argent de son père - et sentir le frisson l'animer ; tendresse cachée derrière une armure de dureté et, parfois, d'arrogance ; suit des études de xx pour coller aux attentes de son père ; père qui vient de se marier et dont la nouvelle compagne ainsi que sa fille vont sous peu, avec eux, emménager.
behind the wheele
FORMULAIRE CRÉÉ PAR ICE AND FIRE. (2022)
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